Obliez ! C´est impossible ça!
C´est impossible ne penser pas en toi
C´est impossible prendre attention
En autre chose que ne soit pas ta vision
Ça va très bien la vie comme ça
Devant la finesse de ta peau
Moi en regardant tes doights
Que m´interdit a cause des anneaux
Tu devais savoir qu´en face de ton cou
L´inspiration d´Eros vient comme vin
Et de mon coeur la poesie flue
Comme un rivière pour mes veins
Facilement, comme tombe la plue
Sans efforts, en s´amusant
Même si tu aurras jamais su
La poésie sera vive. Surement.
C´est ça ce que ç´arrive toujours
Je te vois, j´écrit un poème
C´est la règle. C´est le pour.
C´est toi mon douce thème
C´est pour tes yeux verts
presque rouges; ignescent
Que je donnerais ton nom ouvert
À une petite étoile incadescent
C´est le destin à la distance
Une autre fois peut-être
Le temps entends le romance
Pour que je sois ton maître
Bien que tu ne me voies pas
Et soupçones encore moins
Que ces mots existent là
C´est le plus intéressant
Le meilleur c´est, toutefois,
Que comme les oiseaux
Vivent et morrent cent sois
J´écris de mots amoureaux
Et j´écrit tout ça
pas loin, pas distant,
Mais impunément,
En face de toi.